Hello Cowboy
10 x 12 Huile sur bois.
Evan retranscrit des souvenirs, qu’ils soient vécus ou racontés. Il parcourt une région reculée de la Californie, terre d’origine de sa famille, où se mêlent vestiges américains et séquoias rouges. À travers ses huile sur bois peint, il capte et réinterprète les couleurs, oscillant entre abstraction et figuration, pour donner une nouvelle dimension à ces paysages empreints de mémoire.
Hello Cowboy
10 x 12 Huile sur bois.
Evan retranscrit des souvenirs, qu’ils soient vécus ou racontés. Il parcourt une région reculée de la Californie, terre d’origine de sa famille, où se mêlent vestiges américains et séquoias rouges. À travers ses huile sur bois peint, il capte et réinterprète les couleurs, oscillant entre abstraction et figuration, pour donner une nouvelle dimension à ces paysages empreints de mémoire.
Risographie 5 couleurs pour l'evenement des 5 ans de Quintal Atelier a retrouver sur mon shop
Au bors d'une route vers Camp Meeker
Un voyage dans les souvenirs, une exploration visuelle et narrative où paysages et pensées s’entrelacent au fil du trajet. Comme lorsqu’on est à l’arrière d’une voiture, une rêverie s’installe, bercée par le défilement du paysage à travers la fenêtre. Les idées surgissent au rythme de la route, réveillant des images familières, ces itinéraires gravés en nous que l’on pourrait retrouver les yeux fermés.
Ce livre adopte une double narration, mêlant dessins et textes, pour offrir une balade où les paysages flous du voyage se confondent avec les pensées d’un narrateur inconnu. Entre mémoire et imaginaire, le temps semble suspendu.
À retrouvé sur mon shop
Exposition du 24.04 au 10.05 2025 à Quintal Galerie
C’était une vraie joie de partager cet espace et cette aventure avec Alizée De Pin — deux univers côte à côte, qui se croisent, se répondent, se complètent, curaté par Oscar Ginter
Entre dessins, peintures, livres et couleurs, cette expo a été une belle expérience de dialogue à deux voix. Vos retours, vos regards et votre présence ont rendu tout cela vivant.
30 x 60 Acrylique et pastel sur papier
Un dessin au pastel à l’huile.
Le vase y devient plus flou, plus libre. Il se mêle à d’autres formes, plus abstraites.
Ce travail cherche un équilibre entre structure et souplesse. Il évoque des objets sans les nommer.
Vase - Grand formats
120x120 Acrylique, huile et pastel sec sur toile
Une grande toile, plus dense, plus construite. Le vase y revient, entouré de formes, de couleurs superposées. C’est un travail plus physique, plus intense, où le geste et la matière se répondent.
Pastel à l’huile sur papier, 30 × 40 cm
En collaboration avec Apolline Morel-Lab.Ce dessin explore un dialogue souple entre formes contenues et surgissements libres.
Le vase y devient un prétexte à déborder, à tester les frontières de la composition.
Le pastel trace, efface, insiste comme un corps qui revient sur lui-même. Une vibration douce traverse l’ensemble, entre souvenir de fleur et abstraction domestique.
Un motif créé pour une collaboration avec Papier d’Amour. Un dessin simple, inspiré de fleurs et de formes végétales. Le papier japonais donne au motif une texture douce, légère
Série de 6 peintures à l’huile sur toile, 20 × 30 cm — décembre 2024
Bouquet Garni une serie de peintures
Des vases, des fleurs, des formes simples.
Ce ne sont pas des natures mortes, mais des images ouvertes, où la couleur et le vide jouent ensemble.
entre figure et silence, entre joie et effacement. Une peinture du peu, du lent, du vivant
Evan Renaudie, artiste peintre, diplômé en 2019 de la Haute école des arts du Rhin (HEAR) en illustration, construit un travail fondé sur des formes simples et récurrentes — le vase, la fleur, la ligne, le contour — qu’il n’aborde jamais comme de simples représentations, mais comme des figures d’écoute, de tension, d’ambivalence.
Le vase, notamment, traverse ses séries comme une forme instable : à la fois objet du quotidien, fragment d’histoire de l’art et espace de projection. Ni tout à fait plein, ni vide, il devient un point d’ancrage pour interroger notre rapport au vivant, au domestique, à ce qui se tient au bord de l’image.
Formé également au design graphique, Evan Renaudie cultive un rapport instinctif au dessin, au contour, à l’équilibre.
Ses peintures — réalisées à l’huile ou à l’acrylique, parfois précédées d’études au pastel — naviguent entre figuration et abstraction. Les formes y apparaissent par couches, déplacements, effacements successifs. Le blanc, le vide, le silence visuel y jouent un rôle actif. Son approche est lente, construite, méditative.
Depuis peu, il ouvre ce travail à des formats plus fragmentaires, plus aérés. Dans l’exposition Riverains (Galerie Quintal, 2025), il a présenté une série de dessins et de peintures flottantes, moins centrées sur l’objet, davantage portées par l’atmosphère. Ces formes évoquent un paysage mental ou intérieur, une narration implicite. Il y convoque des images inspirées du folklore américain, de la culture populaire et des codes vernaculaires — un univers discret, presque effacé, nourri notamment par Au bord d’une route vers Camp Meeker, carnet de voyage poétique et désaxé.
Ces références résonnent avec ses vases : formes fragiles, transportables, sans ancrage fixe, comme des signes de passage. Evan Renaudie conçoit l’image comme un espace de respiration, de suspens, d’intimité. Chaque peinture ou dessin est une tentative de créer une vibration contenue — un lieu où le regard peut se poser, rester, circuler. Ce qui l’intéresse, c’est l’apparition lente d’une forme, d’une sensation, d’un climat. Plutôt que de raconter, il cherche à faire advenir. À donner corps à une image à la fois présente et en retrait,
entre souvenir et surface.